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Si vous étiez un livre, vous seriez…

« La Galaxie Gutenberg » de Marshall McLuhan. Un auteur qui cherchait les causes à des effets. Ou encore « La peste » d’Albert Camus.

Si vous étiez une citation, vous seriez… 

« Car Je est un autre. Si le cuivre s’éveille clairon, il n’y a rien de sa faute. » D’Arthur Rimbaud, Correspondance : Lettre du Voyant, à Paul Demeny, 15 mai 1871. Rimbaud marque ainsi la naissance du « moi » et de l’individualité. 

Si vous étiez un marque-page, vous seriez… 

J’hésite entre le marque-page de « Ainsi parlait Zarathoustra » de Friedrich Nietzsche et de « l’Épopée de Gilgamesh ».

Si vous étiez un discours, vous seriez…

Celui de Winston Churchill alors qu’il rend hommage aux aviateurs : « Jamais tant de gens n’ont dû autant à si peu. » J’applique cette phrase aux novateurs à qui nous devons ce que nous sommes.

Si vous étiez une collection, vous seriez…

La collection des Premières Nations, précoloniale de l’Amérique septentrionale, plus particulièrement celle des tribus de la Colombie-Britannique conservée au Musée d’histoire du Canada. Ou encore, l’ensemble des œuvres détruites par le colonialisme européen, plus particulièrement les codex indigènes.

Si vous étiez un papier, vous seriez…

Un papier buvard, car j’aime la citation de Paul Valéry : « Rien de plus original, rien de plus “soi” que de se nourrir des autres. Mais il faut les digérer. Le lion est fait de mouton assimilé. » (Tel quel)

Si vous étiez une bibliothèque, vous seriez…

Reconstituer celle d’Alexandrie et rendre publique celle du Vatican.

Si vous étiez une recette, vous seriez…

Celle qui ferait qu’il n’y ait plus de racisme, plus d’exploitants, que l’on respecte tout le « vivant » et que tous les humains soient égaux.

Si vous étiez un titre de livre, vous seriez…

Dictionnaire historique de toutes les langues, produit par Alain Rey avec la collaboration de Louis Létourneau

L’histoire des encyclopédies, en étant celle de Diderot, Encyclopédie du dix-neuvième siècle de 1877, Encyclopédie Universalis, et Wikipédia.

L’ensemble des publications du National Geographic et de la revue Nature

Nu(e) devant son miroir, je voudrais que chacun(e) veuille bien voir son animalité première. Comme chez les autres animaux, des yeux, un nez, une bouche, un anus, une vulve, ou un pénis, et cette peau qui, telle un vêtement, recouvre tous les muscles et les os. Aussi, chacun(e) verra dans la glace non pas le sourire de son chien aux dents de carnivores, mais celui de son ancêtre Primate venu des grandes forêts originelles.

 

Si vous étiez un livre, vous seriez…

Les Contes des Mille et une Nuits

Si vous étiez une citation, vous seriez…

« Une femme est authentique quand elle ressemble à l’image qu’elle a rêvée d’elle-même » (Pedro Almodovar dans « Tout sur ma mère », 1 999)

Si vous étiez un marque-page, vous seriez…

collées l’une au-dessus de l’autre sur un carton fin, deux petites feuilles d’érable, une rouge pour la saison d’automne et une verte pour le printemps et l’été

Si vous étiez un discours, vous seriez…

celui sur le droit des enfants par Victor Hugo : « Ce jeune esprit, l’enfant, est le champ de la moisson future. Il contient la société nouvelle. Ensemençons cet esprit, mettons-y la justice ; mettons-y la joie » (extrait d’ « Actes et paroles, pendant l’exil », 1 869)

Si vous étiez une collection, vous seriez…

les étuis-emballages des tablettes de chocolat aux fantastiques graphismes

Si vous étiez un papier, vous seriez…

le papier kami (qui veut dire « papier » en japonais) plié selon la technique de l’origami pour en faire un oiseau bleu, symbole de paix, d’amour et de renouveau

Si vous étiez une bibliothèque, vous seriez…

en bois d’érable, aux rayons remplis de romans, de biographies, de livres animaliers, et d’albums de photographies.

Si vous étiez une recette, vous seriez…

une salade de fruits parfumés à la réglisse

Si vous étiez un titre de livre, vous seriez…

L’Étoile Vesper (Colette, 1 946).

1.Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Manuel modeste anti trahison du genre humain : Tous vulnérables.

2.Quelles sont vos sources d’inspirations ?

La nature.

3.Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

« Les Fourmis » de Bernard Werber.

4.Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Anti-Con-Formiste

5.Quelle est votre citation favorite ?

« Aide toi, le ciel t’aidera »

6.Quel est votre mot préféré ?

Supercalifragilistiexpialidocious.

7.Quel est votre rituel d’écriture ?

Sans rituel, ça doit sortir.

8.Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Tao Te Ching.

9.Stylo ou clavier ?

Disctaphone, puis l’un ou l’autre pour développer.

10.Le mot de la fin ?

À suivre…

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Les textes emplis d’une forte énergie transmise par le monde angélique nous parlent de notre monde visible, concret, et du monde invisible qui nous guide. Ils nous mettent face à nous-mêmes et à notre incompréhension de l’existence qui nous semble parfois injuste. Nullement religieux ou moralisateurs, ils nous aident à recevoir cet immense amour qui nous a donnés et qui nous bouscule, et à mieux nous comprendre. Dieu est évoqué souvent et représente un état de conscience, la vie en chacun de nous et notre façon de l’exprimer. Nous trouverons toute l’aide et la compréhension de ce que nous vivons pour devenir plus forts et en paix. La puissance de ces textes révélera au fur et à mesure les clefs cachées permettant de cheminer sur le sentier de la liberté.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Canalisations avec le monde angélique.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Positive, directe, ouverte.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Puisse la paix régner sur la terre.

  1. Quel est votre mot préféré ?

Amour et partage.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Canalisation

  1. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Celui qui m’a été donné d’écrire.

  1. Stylo ou clavier ?

Stylo et clavier.

  1. Le mot de la fin ?

Remerciements au monde angélique.

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

À l’opposé des polémiques qui stérilisent la réflexion, je me suis attaché à analyser les véritables sources des difficultés rencontrées lors de la crise du Covid-19. Cela permet de faire émerger des solutions réellement susceptibles de nous préparer aux prochaines crises.

  1. Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Ne nous laissons pas entraîner par les fausses évidences. Une affirmation n’est pas indiscutable parce que « tout le monde » la répète. Au contraire, nous devons prendre du recul pour débusquer les faits négligés qui démentent la croyance générale. Sans cela, on ne voit pas ses faiblesses et on se condamne à revivre les mêmes souffrances.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Les faits, les documents, les témoignages.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

« Toujours plus » de François de Closets. Un livre qui date de 1984, mais qui reste pour moi une référence. En partant de la réalité quotidienne, il montrait combien le discours ambiant masquait les vrais désordres qui menacent la société française.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Indépendance d’esprit.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

Une citation d’Oscar Wilde : « La vérité pure et simple est très rarement pure et jamais simple. »

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Une à deux heures après la sieste quotidienne, et y penser à chaque instant tant que le livre n’est pas fini.

  1. Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Pour l’instant aucun. Les circonstances décideront, comme pour ce livre.

  1. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Quand une maison d’édition vous rappelle quelques jours après avoir reçu le manuscrit, c’est qu’elle croit en votre projet.

  1. Le mot de la fin ?

Face à la crise, les Français ont été incroyablement solidaires. Je me demande s’ils n’ont pas besoin de querelles et de disputes pour pouvoir mieux se rassembler quand cela devient vital.

J-1 avant de célébrer l’amour… À l’occasion de la Saint-Valentin, les Éditions du Panthéon dévoilent une sélection de titres placés sous le signe de la romance ! De quoi faire chavirer les coeurs…

L’Ange… qu’il aille au Diable de Diane Dèlos

Chronique d’une rencontre inattendue : celle d’Eve et Johan. Johan est en couple, qui plus est avec un homme… Mais pour Eve, ça n’a pas d’importance. Une attirance mutuelle et inexplicable s’installe, un amour improbable se développe. En cherchant à comprendre les émotions de Johan ainsi que les siennes, Eve écrit, sans relâche. L’écriture mène à la découverte : que va-t-elle comprendre de cette situation si singulière ? 

Prix - 19,50€

Les mots nourriciers de Hélène Caratini 

Hélène est une femme active, mère adoptive et célibataire, elle rêve parfois de rencontrer le grand amour, celui que seuls les ouvrages romantiques relatent. Jeanne est chercheuse dans un institut, travaille beaucoup et aimerait renouer avec le grand frisson amoureux. Toutes deux vont se trouver suite à une annonce déposée sur un site de rencontre. Une longue correspondance va alors débuter, intense, captivante, dévorante, sensuelle. Lorsque deux femmes s’éprennent l’une de l’autre par le seul biais de l’écriture. 

Prix - 22,50€

L'antichambre de Steeve Minder 

Dans ce recueil, poésie et prose se mêlent pour conter l’amour, la rencontre et la beauté. Le lecteur navigue entre récit et imagination, sans toujours distinguer le vrai du faux, en une exquise hésitation. 

Prix - 12,50€

Ces trucs qui pétillent au-dessus de nos têtes de Christine Bécel

La vie sens dessus dessous… Alice, quarante-cinq ans, connaît bien ses aléas.

Cela fait deux ans qu’elle a créé le « Jardin Secret », son salon de thé qui combine galerie d’art et jungle café. Deux ans qu’elle vit avec ses fils, après avoir été plaquée par son mari, pour une plus jeune qu’elle. Deux ans qu’elle a organisé sa vie autour de sa famille et de ses amies.

Et un jour il franchit la porte… et fait réapparaître ces trucs qui pétillent au-dessus de nos têtes, qui bousculent les équilibres et nous encouragent à croire que tout est possible. Mais la vie est étonnante et réserve quelques surprises, sans parler du destin qui n’en fait qu’à sa tête…

Prix - 18,90€

Le syndrome de l'escaladeur de Florence Denis

Une trahison du corps et c’est le cœur qui se fissure. Il a toujours cherché à dépasser ses limites. Avant, et avec elle. Elle aussi veut l’atteindre, son sommet. Ils ne peuvent reculer, quitte à choisir la mauvaise voie. Mais le sort les fait exploser en vol. Finalement l’urgence n’est pas le plus dur à surmonter, c’est de se retrouver cloués au sol, face à face. Elle aurait tant voulu être protégée… Dans cette tragédie à deux regards, le désordre amoureux submerge. L’auteure en extrait avec sincérité les questionnements intimes d’une femme parmi d’autres.

Prix - 13,50€

François et moi de Louise Phaneuf

Claudine, après avoir vécu un traumatisme, ne se consacre plus qu’à sa carrière et ses amis depuis un moment. Pour son anniversaire, elle s’offre un appartement dans une ancienne bâtisse au charme fou et découvre que son non moins charmant voisin est, entre autres, un écrivain dont elle admire le travail ! Ils apprendront ainsi à se connaître et le destin les amènera à partager des moments très intenses… Qu’adviendra-t-il de leur relation ?

Prix - 13,90€

  1. Pouvez-vous nous présenter votre livre ? 

Mon livre est axé sur un long parcours initiatique menant à la complétude, c’est à dire, à l’amour de soi.

  1. Quelles sont vos sources d’inspirations ?

Ma vie réelle est toujours à la base des mes écrits. Mais en ce qui concerne « Le Fil Rouge », je me suis aussi documentée.

  1. Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

« Sous le ciel de Novgorod » de Régine Desforges.

  1. Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient-ils ?

Bienveillante, attachante, pulpeuse.

  1. Quelle est votre citation favorite ?

« Quand on ne peut pas revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d’aller de l’avant ». (Paulo Coelho).

  1. Quel est votre mot préféré ?

Amour.

  1. Quel est votre rituel d’écriture ?

Le soir, entre minuit et deux heures du matin.

  1. Le livre que vous auriez aimé écrire ?

Il y en a deux :  Le dernier jour d’un condamné (Victor Hugo) et l’Éducation Sentimentale (Gustave Flaubert).

  1. Stylo ou clavier ?

Clavier.

  • Le mot de la fin ?

Si j’étais un animal, je serais un oiseau.

Découvrir "L'hypocrisie du Monde du Travail" : https://bit.ly/3CYYngm

1 - Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Mon livre es dédié à une poétesse italienne, Antonia Pozzi (1912-1938) morte tragiquement à 26 ans après « Une vie brève, une vie de génie » : Elle fut épistolière, montagnarde et photographe ; ses poèmes magnifient les beautés de la nature en différentes saisons, une projection de son vécu intérieur, avec une sensibilité émouvante ; elle vécut à l’époque du fascisme mussolinien et malgré le bannissement du français, soutint une thèse sur Gustave Flaubert.

2- Quel message voulez-vous transmettre au lecteur ?

Osez suivre sa courte vie mais si pleine d’émotion créative ; « Je vis de la poésie comme les veines vivent du sang »

Antonia est une grande intellectuelle à la culture immense, en bute avec l’atmosphère de son temps, une quête amoureuse déçue, cependant la joie de courses en montagne, l’attention aux petites gens, elle qui est issue d’un milieu très favorisé.

3-Quelles sont vos sources d'inspiration ?

Les grands classiques de la littérature française et italienne dont les poètes Victor Hugo, Virgile et Dante.

4-Quel est le livre qui vous a donné envie d’écrire ?

Qui n’a pas rêvé d’écrire « La chartreuse de Parme » de Stendhal ?

5-Si vous deviez vous décrire en trois mots, quels seraient ils ?

Le goût de l’étude, la constance dans mes choix et le désir d’excellence (non sans humilité toutefois).

6-Quelle est votre citation favorite ?

« Ne jamais renoncer au projet que tu portes »(citation personnelle).

7-Quel est votre rituel d’écriture ?

Je rédige aux premières heures du jour quand la nuit aura été inspirante.

8-Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

Je travaille à l’histoire de deux grandes figures féminines italiennes du Moyen-Age prises à l’époque de la peste noire et on pourra y rencontrer Boccace, Pétrarque, Dante bien sûr, la papauté à Avignon, les saintes anorexiques.

9-Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?

Ma foi, par un heureux hasard, qui m’a fait bénéficier de précieux conseils, étant écrivain « dilettante ».

10-Le mot de la fin ?

Ce serait mon souhait que le lecteur éprouve autant d’émotion à la vie et l’œuvre d’Antonia Pozzi, qui d’ailleurs fait l’objet de travaux de recherche à l’Université de Milan ; enfin je me permets de souligner le soin que j’ai mis à traduire ses plus beaux poèmes pour respecter sa pensée profonde.

Découvrir "Une vie brève, une vie de génie" : https://bit.ly/3ytcgPF

Le choix des mots pour débuter une histoire est très important : la première phrase est celle qui embarque et pousse à tourner la page, ou pas. Dynamisme ? Mystère ? Mélodie ? Qu’est-ce qui fait le succès d’un incipit, et pourquoi faut-il particulièrement soigner sa première phrase ?

L’importance de la première phrase

Plonger dans l’histoire, séduire… tel est l’objectif de l’incipit. Avec seulement quelques mots pour faire sensation, le défi est coriace. Mais peaufiner sa première phrase, c’est la promesse d’interpeler le lecteur et de lui donner envie d’aller plus loin dans la lecture.

Avant cela, une formulation accrocheuse représente aussi et surtout l’une des clés d’entrée dans les maisons d’édition.

Comment séduire en une phrase ?

Une phrase concise pour planter le décor et capter l’attention de son lecteur n’est pas chose aisée à rédiger. À lui seul, l’incipit porte les hypothèses et questions qui donneront envie de passer du monde réel à la fiction et quels que soient ses talents d’auteur, manier le verbe doit se doubler d’une capacité à synthétiser et intriguer pour que le livre soit finalement choisi par celui qui le découvre.

Pour produire un tel effet, voici une sélection d’incipit célèbres desquels s’inspirer :

« Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. » - L’Étranger, Albert Camus

« La première fois qu’Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. » - Aurélien, Louis Aragon

« J’avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie. » Aden Arabie, Paul Nizan

« Longtemps, je me suis couché de bonne heure. » - Du côté de chez Swann, Marcel Proust

Tous ces premiers mots ont en commun de nous plonger dans l’action, et de générer une réaction. Prenons l’exemple de la première phrase de « Du côté de chez Swann ».

Après lecture, le mental s’agite : « Il a perdu l’habitude de se coucher tôt, pourquoi ? Que s’est-il passé pour bouleverser une routine installée depuis longtemps ? Qui est « je » ?

De la même manière pour le début de Bérénice, notre esprit questionne : « Qui sont Aurélien et Bérénice l’un pour l’autre ? », « Aurélien a-t-il changé d’avis et comment ? ».

Prêts à écrire la première phrase parfaite ? À vos plumes !

Si vous étiez un livre, vous seriez... 

Une analyse au vitriol de la société contemporaine : L'Infinie Comédie de David Foster Wallace, philosophe et mathématicien américain. Roman visionnaire, psychédélique, chaotique et sombre. Plume acerbe, dissemblable mais précise.

Si vous étiez une citation... 

"Si vous traversez l'Enfer, continuez d'avancer" de Winston Churchill, surnommé "Vieux Lion". Ma vie n'est pas un chemin parsemé de roses.

Si vous étiez un marque-page...

Aucune chance. Je lis un livre, je m'en imprègne, je le referme, puis je le classe.

Je préfère tourner la page...

Si vous étiez un discours...

Au regard de l'actualité, alors que ce jour-là les médias avaient annoncé un désastre, je serai plutôt le fou-rire mythique entre Bill Clinton et Boris Eltsine, lors de la célèbre conférence de presse à New York, en 1995.

Si vous étiez une collection...

Sans hésiter, la collection Lucis Trust qui regroupe en une vingtaine d'ouvrages, la connaissance occulte de l'écrivaine ésotérique britannique Alice A.Bailey (1880-1949).

Si vous étiez un papier...

Évidemment, en hommage à la connaissance antique, je serais un papier végétal, le papyrus véritable : Cyperus papyrus, l'un des premiers supports de l'écriture.

Si vous étiez une bibliothèque...

La bibliothèque d'Alexandrie, fondée en Égypte. La plus célèbre bibliothèque de l'Antiquité qui réunissait les ouvrages les plus importants de l'époque.

Si vous étiez une recette...

Disons que je serais, sans doute, une sorte de soufflé : à manipuler avec précaution... (sourire)

Si vous étiez un titre de livre...

N'en déplaise à la bien-pensance, je serais le titre de ma prochaine fiction Punk Love : journal de bord d'une chienne du siècle. Dans cette nouvelle pratiquement achevée que j'espère adapter à l'écran, je règle mes comptes.

Découvrir La formule Dieu : le testament de Massana Ateh et Lettres de Chaos - Le petit oracle de la délivrance de Marion Calviera : https://bit.ly/3OMedxX